Publié en partenariat avec Interac.
Au troisième trimestre de 2021, deux équipes de Calgary, soit les Flames de la LNH et les Stampeders de LCF, ont, après une longue pause, rouvert leurs portes à leurs impatients amateurs. Dans le cas des Stampeders, ceux-ci attendaient depuis 698 longues journées l’occasion d’encourager de nouveau leur équipe au stade McMahon.
Le défi : les habitudes de paiement des consommateurs avaient changé dans le sillage de la pandémie. Or, le stade McMahon et le Saddledome de la Banque Scotia, domicile des Flames, dépendaient encore surtout des paiements en espèces. Cette façon de faire était beaucoup moins commode que les paiements sans contact rapides auxquels les gens s’étaient accoutumés, sans compter que le traitement des espèces avait toujours représenté un obstacle opérationnel pour Calgary Sports and Entertainment Corporation (CSEC), société mère des deux équipes.
Interac, Square et CSEC ont donc uni leurs forces pour résoudre ce problème. Elles ont mis à profit l’omniprésence, la rapidité et la commodité des paiements sans contact Débit Interac et adopté des systèmes Square Register et Square Terminal faciles à installer aux points de vente afin de permettre aux amateurs de payer plus rapidement pour leurs casse-croûte, leurs boissons et leurs souvenirs. Et, en collaborant, ces trois importantes organisations ont saisi la chance de stimuler les affaires des quelque 55 000 PME qui propulsent l’économie de Calgary, donnant par la même occasion aux gens de la ville la possibilité d’encourager à la fois les entrepreneurs locaux et leur équipe préférée.
Pour en savoir plus sur la façon dont cette collaboration a vu le jour, au profit des amateurs de sports et des PME de Calgary, au moyen du concours #YYCSpotlight, Interac s’est entretenue avec Isabel Lee, directrice des solutions-clients et des relations avec les investisseurs, Interac; avec Karisa Marra, chef des ventes, Square Canada; et avec Jason Johnson, directeur principal des ventes de partenariats, CSEC.
Parlez-nous du problème de paiement qui vous a initialement incités à unir vos forces?
Jason Johnson, CSEC : Les paiements représentaient notre principale pierre d’achoppement dans les stades. Avant la pandémie, nous acceptions surtout les espèces, ce qui exigeait beaucoup de temps et d’effort, notamment pour rendre la monnaie. Nous devions adopter de nouvelles technologies, et les points de vente représentaient une priorité à ce chapitre pour nous.
Isabel Lee, Interac : Avant la réouverture de ces installations en 2021, les personnes qui assistaient à un match au Saddledome ou au stade McMahon payaient majoritairement en argent comptant. Or, CSEC savait que cette expérience était loin d’être optimale pour les amateurs. De plus, comme le démontraient nos propres recherches, les consommateurs avaient massivement adopté les paiements sans contact pendant la pandémie dans le cadre d’un phénomène que nous appelons le « grand virage ». Le temps était décidément venu d’améliorer l’expérience des amateurs de sports Calgary en modernisant les interactions de paiement. En fin de compte, les paiements contacts, c’est une question de donner priorité aux clients.
Karisa Marra, Square : Nous avons longuement réfléchi, comme CSEC l’a fait aussi, à tout le temps que les gens passaient en file, ce qui nous a amenés à nous demander comment créer une expérience réellement formidable pour nos clients et comment adopter la meilleure technologie qui est à notre disposition au Canada. Fait peu étonnant, Débit Interac est l’un des types de paiements que nous apercevons le plus souvent sur nos plateformes au pays. En n’offrant pas ce service à ses clients dans les stades, CSEC ratait des ventes ou, du moins, créait des obstacles additionnels pour les gens désireux d’acheter des articles quand ils assistaient à des matches.
Square Register : les paiements et les opérations de point de vente simplifiés.
Le premier terminal de paiement entièrement intégré pour tous les secteurs d’activité.
La solution au problème des paiements consistait à faire en sorte que les kiosques de souvenirs et de casse-croûte du Saddledome de la Banque Scotia et du stade McMahon éliminent les ventes en espèces d’ici l’automne 2021, ce qu’ils comptaient faire en installant des appareils Square Register et Square Terminal assortis de Débit Interac. Comment les paiements sans contact ont-ils amélioré l’expérience des amateurs?
JJ : Nous voulions réduire la durée des transactions, objectif que nous avons atteint ensemble. Nous étions en mesure de servir les gens en file à un rythme sans précédent, ce qui a eu pour effet d’améliorer l’expérience des amateurs vu que les files étaient non seulement plus courtes, mais qu’elles avançaient aussi plus rapidement, et que les gens pouvaient réaliser des transactions de façon très simple et harmonieuse.
KM : [Le fait d’offrir des paiements numériques rapides et sans contact] permet aux amateurs de retourner rapidement à leur siège — ou d’y rester en commandant directement de là — ce qui représente un avantage de taille. C’est très important pour nos clients.
En lançant un système de paiements sans contact sophistiqué dans deux grands stades, vous espériez aussi démontrer à quel point c’est facile de moderniser les points de vente pour les entreprises de toutes les tailles. Pouvez-vous nous parler du caractère évolutif des paiements sans contact?
IL : Les entreprises, surtout celles de petite taille, investissent toujours dans l’adoption d’options de paiement sans contact aux points de vente.
Square et Interac ont toutes deux déployé des efforts pour leur faciliter la tâche. Il y a dix ans, il vous aurait fallu plusieurs semaines pour établir un compte de commerçant, passer par le processus de sélection et recevoir l’approbation nécessaire à l’obtention de votre équipement. Aujourd’hui, vous pouvez commander un terminal et télécharger une appli, puis vous êtes prêts à accepter les paiements en l’espace de quelques minutes. C’est formidable, puisque les entreprises de toute taille, même les PME, peuvent devenir opérationnelles sans devoir franchir une panoplie d’obstacles. Autrement dit, que vous exploitiez une nouvelle entreprise qui n’a pas encore beaucoup de capital ou un stade de 45 000 sièges, vous êtes sur un pied d’égalité en ce qui concerne la technologie de paiements sans contact que vous pouvez offrir à vos clients.
KM : [Nous démontrons que les avantages des paiements sans contact] sont tant à la portée d’un petit vendeur dans un marché d’agriculteurs ou d’un grand stade qui s’apparente essentiellement à un centre commercial ou à une entreprise à plusieurs niveaux réunie sous un seul toit. L’objectif consiste à soutenir les entreprises de toutes les tailles.
Et, en ce qui concerne les PME, ce projet a dégagé des avantages allant au-delà des paiements. Expliquez-nous comment vous avez créé une occasion d’appuyer les PME?
IL : Cette collaboration visait à démontrer que trois organisations pouvaient unir leurs forces pour faire valoir la commodité, les possibilités et le caractère évolutif d’une solution de paiements sans contact, et ce, à une échelle assez inédite, soit à l’intention de milliers de personnes qui arrivent dans une installation et souhaitent effectuer des transactions rapides afin de pouvoir assister à un match.
Or, nous voulons toujours en faire plus quand nous collaborons avec d’autres organisations. Notre rôle, chez Interac, consiste à jouer un rôle de « connecteur », que ce soit pour la technologie ou au sein des collectivités canadiennes. Alors, nous sommes toujours à l’affût de possibilités de créer des occasions gagnantes sur toute la ligne, c’est-à-dire non seulement pour les membres d’un partenariat, mais également pour la communauté et pour l’économie. Grâce à cette initiative, nous avons aperçu la possibilité de mettre à profit les vastes publics de CSEC pour soutenir les PME locales.
JJ : Notre organisation cherche toujours à réinvestir dans la communauté de Calgary. Quand nous avons commencé à discuter avec Interac et Square, nous avons eu l’idée de lancer une initiative qui permettrait aux PME d’annoncer leurs services sur une vaste plateforme.
IL : Le concours #YYCSpotlight représentait un moyen de susciter la participation des amateurs en leur permettant de présenter la candidature de leur PME locale préférée. La PME gagnante recevrait un prix, consistant entre autres dans la possibilité de mettre son entreprise en vedette dans les espaces publicitaires du Saddledome et du stade McMahon.
KM : Le concours #YYCSpotlight a pour effet de créer un esprit communautaire dans les stades, car il permet aux amateurs de présenter la candidature d’entreprises établies au sein de leur localité. C’était, à mon avis, une façon unique et intéressante d’unir nos forces et de créer une certaine visibilité et sensibilisation pour la communauté des affaires de Calgary auprès d’un vaste public pendant un match de sport.
Nous avons aussi organisé un Sommet à l’intention des PME, événement qui leur a permis de prendre contact avec d’autres propriétaires d’entreprise de la communauté et d’écouter des dirigeants parler des moyens de surmonter les difficultés. De plus, nous avons parlé des outils, y compris les technologiques de paiement, auxquels les PME ont accès pour poursuivre leur expansion. Soutenir les PME, c’est important pour Square et c’est une valeur que nous partageons étroitement avec Interac.
Pour est-ce aussi important pour vous tous de soutenir les PME?
IL : Au Canada, les PME comptent pour 97 pour cent de tous les commerçants. Elles sont importantes pour Interac, et nous sommes déterminés à les aider à faire croître leurs affaires. Nous sommes depuis longtemps reconnus pour les investissements effectués pour renforcer les PME. Interac aide ces dernières à moderniser leurs paiements pour s’adapter à l’évolution de l’économie. Or, nous voulons avoir un impact significatif d’autres façons, que ce soit en les reliant aux collectivités ou en soutenant un programme de littératie financière à l’intention des entrepreneurs issus de la diversité.
Dans la foulée d’un sondage effectué en 2021, nous avons appris que la majorité des Canadiens souhaitent vivement, eux aussi, soutenir les entreprises de leur localité. Ils savent à quel point celles-ci en ont arraché pendant la pandémie.
KM : Sans les PME, l’économie stagne. Notre fierté, en tant que Canadiens, provient du soutien offert à ces entreprises dans notre localité, de l’achat d’articles auprès de personnes qui ont pignon sur rue tout près de chez nous. Les PME sont les piliers de l’économie canadienne. Nous devons continuer d’encourager leur croissance en les dotant de la technologie nécessaire pour réussir.
Isabel, qu’est-ce qui fait la réussite de cette initiative du point de vue d’Interac?
IL : Comme je l’ai mentionné plus tôt, nous avons toujours joué un rôle de « connecteur ». Nous brillons réellement quand nous mettons des collaborateurs en contact pour réaliser un projet réellement génial. Interac a la capacité unique de réunir les bons partenaires pour créer quelque chose de magique.
À mon avis, un bon partenariat — chez Interac, mais en fait partout — voit le jour quand toutes les parties prenantes visent un objectif et qu’elles sont toutes en en mesure de le concrétiser. Cette initiative avait pour but d’aider concrètement les PME de Calgary d’une façon à la fois nouvelle et différente, de mobiliser le grand public et d’amplifier la voix des PME.
Maintenant, nous nous posons les questions suivantes : « Cette initiative va-t-elle se traduire par une visibilité accrue pour les PME locales? Ces PME vont-elles être témoins d’une hausse de leurs ventes après avoir pu s’annoncer pendant ces matches? »’ Nous recueillerons ces données vitales auprès de chacun des gagnants.
Que pouvez-vous nous dire au sujet de la réaction des entreprises au concours #YYCSpotlight jusqu’à présent?
JJ : Nous avons entendu dire que ce concours avait réellement donné de l’essor à leurs affaires et leur avait offert une possibilité de se faire connaître dans la collectivité. La première gagnante a été Caitlynne Medrek de YYC Princess. Caitlynne est absolument ravie d’avoir eu la possibilité de promouvoir son entreprise devant 20 000 à 30 000 amateurs et d’afficher ses annonces sur de grands écrans afin d’accroître la visibilité de son entreprise pendant des matches télévisés à l’échelle nationale, possibilité qu’elle n’aurait jamais eue normalement. Nous avons reçu des commentaires comparables de toutes les entreprises qui ont gagné un prix.
IL : Sa réaction était tellement authentique et spontanée. C’était un moment touchant de voir ses yeux quand elle a vu le logo de son entreprise illuminer le grand écran. Je me rappelle avoir pensé, assise en compagnie de mes collègues de Square et CSEC, « voilà précisément la raison d’être de ce concours. »